COMMUNIQUE DE PRESSE
La traversée des Landes, deuxième étape des Randos Vertes 2009
Communiqué du 19/05/2009
Deux jours pour traverser les Landes en longeant l’océan. 220km entre forêts de pins et spots de surf. Du roller, et encore du roller : voilà le résumé de la deuxième étape des Randos Vertes !
130 patineurs ont pris part à la deuxième étape des Randos Vertes, la Traversée des Landes. 130 patineurs, dont quelques initiés de fraîche date (les plus « jeunes » avaient deux ans de roller dans les jambes), et une quinzaine d’Espagnols (la frontière n’est pas loin). Voilà déjà plusieurs années que la Traversée des Landes existe : autant dire que l’équipe qui organise l’événement est rôdée ! Son président, Jean-Jacques Braud, a su fédéré des passionnés du roller, disponibles, souriants et efficaces, et qui savent encadrer une centaine de randonneurs lancés à l’assaut de cette traversée.
Premier rendez-vous : la dune du Pilat
La plupart des randonneurs avaient d’ailleurs rallié le bassin d’Arcachon dès le vendredi soir pour une première nuit dans un village vacance d’Arcachon. Normal : le départ de la traversée des Landes était prévu pour 9h le lendemain matin à Gujan-Mestras. Dès 8h en fait, tout le monde était réuni, organisateurs et randonneurs, pour une mise au point concernant la sécurité, un discours du maire et les photos traditionnelles.
Le groupe s’élançait ensuite, avec vingt minutes de retard, vers le Sud. Premier rendez-vous remarquable : la dune du Pilat. L’itinéraire longeait en effet cette montagne de sable par l’intérieur des terres, et offrait aux participants leur premier test : des montées et des descentes, agrémentées de vent. Premier test réussi. Certes, il y eut quelques chutes sur les 220km de parcours au total, mais rien de grave. Les seules zones rouges, par exemple celle de Biscarosse Plage après le Pilat, étaient largement annoncées ; et ceux qui ne se sentaient pas de les faire – il s’agissait surtout de descentes un peu raides – pouvaient monter dans le bus des accompagnateur. Sécurité maximale donc !
Des paysages magnifiques… et les ravages de la tempête
Le parcours était jalonné de paysages magnifiques et de vraies grandes pauses. Par exemple, le premier déjeuner était prévu à Pontenx, et préparé par un traiteur engagé sur les deux jours. Les randonneurs ont donc pu déguster un vrai repas sur de vrais chaises (!), les yeux remplis des couleurs de la Gironde, le vert des pins et le bleu de l’océan. A dire vrai, les randonneurs ont également pu apprécier de leurs yeux les ravages de la tempête qui s’est abattue sur les Landes cet hiver : de nombreuses zones étaient en effet devenues des plaines vides de pins, et d’autres présentaient des entrelacs cabossés. Mais les services de la DDE de la région avaient déjà accompli un véritable exploit en dégageant l’essentiel des pistes cyclables et en remettant les tronçons de route abîmés en état.
L’après-midi du samedi, le groupe se dirigeait vers Mimizan, dans une zone justement touchée par la tempête. Halte à Saint-Giron-Plage le soir (fin de la journée de patin à 18h45). Pour les randonneurs, encore de beaux paysages, puisqu’ils étaient hébergés dans un camping en face de l’océan. Tourisme ou récupération ? Choix crucial… Il faut en effet savoir rester concentré après toute une journée de sport : direction le masseur, le kiné et/ou le podologue, pour une petite remise en état – en prévision des quelques 100 autres kilomètres prévus le dimanche ! Mais il faut aussi savoir se détendre, par exemple autour d’un bon repas et d’une séance de visionnage des photos de la journée.
Vers Anglet et Bayonne, en passant par Hossegor
Une Traversée des Landes, ça se construit tôt le matin ! Pas de grasse matinée pour les 130 participants : lever dès 7h, pour un départ prévu à 9h. Et une première portion de quelques centaines de mètres à 6% sur une piste cyclable de 50cm de large. Rien de tel pour se mettre en jambes ! La deuxième journée s’est déroulée comme la précédente, au rythme des paysages qui défilent (finies les forêts de pins, place au forêts de chênes), des pelotons qui se forment (à des allures proches des 25km/h), des petites chutes (une Espagnole qui tombe dans un buisson d’orties et se réveille les sangs)…
Il a fait grand soleil toute la journée du dimanche. C’est appréciable évidemment quand on roule et quand on déjeune dehors. Les dernières étapes ont conduit les participants vers Anglet et vers Bayonne, les zones portuaires de la côte basque, en passant par les spots de surf d’Hossegor. Il a fallu opérer des coupes sombres sur le parcours initial (environ 10km) pour éviter les routes trop ravagées par la tempête. Mais au final, tout le monde est reparti heureux. Pour les randonneurs les plus éloignés, un bus a rallié Gujan-Mestras, où étaient restées les voitures. Ils ont pu profiter de ce « voyage-retour » pour consulter leurs chronos, et s’apercevoir que 220km à 20/25 de moyenne, cela correspondait bien à la Traversée des Landes… Mais qu’en deux jours, ils avaient vu et fait bien plus !
Merci à Gérald.
Pour se situer :
http://sites.google.com/site/tlroller2009/presentation
Lien vers les photos :
http://sites.google.com/site/tlroller2009/les-dernieres-nouvelles/unedeplus
130 patineurs ont pris part à la deuxième étape des Randos Vertes, la Traversée des Landes. 130 patineurs, dont quelques initiés de fraîche date (les plus « jeunes » avaient deux ans de roller dans les jambes), et une quinzaine d’Espagnols (la frontière n’est pas loin). Voilà déjà plusieurs années que la Traversée des Landes existe : autant dire que l’équipe qui organise l’événement est rôdée ! Son président, Jean-Jacques Braud, a su fédéré des passionnés du roller, disponibles, souriants et efficaces, et qui savent encadrer une centaine de randonneurs lancés à l’assaut de cette traversée.
Premier rendez-vous : la dune du Pilat
La plupart des randonneurs avaient d’ailleurs rallié le bassin d’Arcachon dès le vendredi soir pour une première nuit dans un village vacance d’Arcachon. Normal : le départ de la traversée des Landes était prévu pour 9h le lendemain matin à Gujan-Mestras. Dès 8h en fait, tout le monde était réuni, organisateurs et randonneurs, pour une mise au point concernant la sécurité, un discours du maire et les photos traditionnelles.
Le groupe s’élançait ensuite, avec vingt minutes de retard, vers le Sud. Premier rendez-vous remarquable : la dune du Pilat. L’itinéraire longeait en effet cette montagne de sable par l’intérieur des terres, et offrait aux participants leur premier test : des montées et des descentes, agrémentées de vent. Premier test réussi. Certes, il y eut quelques chutes sur les 220km de parcours au total, mais rien de grave. Les seules zones rouges, par exemple celle de Biscarosse Plage après le Pilat, étaient largement annoncées ; et ceux qui ne se sentaient pas de les faire – il s’agissait surtout de descentes un peu raides – pouvaient monter dans le bus des accompagnateur. Sécurité maximale donc !
Des paysages magnifiques… et les ravages de la tempête
Le parcours était jalonné de paysages magnifiques et de vraies grandes pauses. Par exemple, le premier déjeuner était prévu à Pontenx, et préparé par un traiteur engagé sur les deux jours. Les randonneurs ont donc pu déguster un vrai repas sur de vrais chaises (!), les yeux remplis des couleurs de la Gironde, le vert des pins et le bleu de l’océan. A dire vrai, les randonneurs ont également pu apprécier de leurs yeux les ravages de la tempête qui s’est abattue sur les Landes cet hiver : de nombreuses zones étaient en effet devenues des plaines vides de pins, et d’autres présentaient des entrelacs cabossés. Mais les services de la DDE de la région avaient déjà accompli un véritable exploit en dégageant l’essentiel des pistes cyclables et en remettant les tronçons de route abîmés en état.
L’après-midi du samedi, le groupe se dirigeait vers Mimizan, dans une zone justement touchée par la tempête. Halte à Saint-Giron-Plage le soir (fin de la journée de patin à 18h45). Pour les randonneurs, encore de beaux paysages, puisqu’ils étaient hébergés dans un camping en face de l’océan. Tourisme ou récupération ? Choix crucial… Il faut en effet savoir rester concentré après toute une journée de sport : direction le masseur, le kiné et/ou le podologue, pour une petite remise en état – en prévision des quelques 100 autres kilomètres prévus le dimanche ! Mais il faut aussi savoir se détendre, par exemple autour d’un bon repas et d’une séance de visionnage des photos de la journée.
Vers Anglet et Bayonne, en passant par Hossegor
Une Traversée des Landes, ça se construit tôt le matin ! Pas de grasse matinée pour les 130 participants : lever dès 7h, pour un départ prévu à 9h. Et une première portion de quelques centaines de mètres à 6% sur une piste cyclable de 50cm de large. Rien de tel pour se mettre en jambes ! La deuxième journée s’est déroulée comme la précédente, au rythme des paysages qui défilent (finies les forêts de pins, place au forêts de chênes), des pelotons qui se forment (à des allures proches des 25km/h), des petites chutes (une Espagnole qui tombe dans un buisson d’orties et se réveille les sangs)…
Il a fait grand soleil toute la journée du dimanche. C’est appréciable évidemment quand on roule et quand on déjeune dehors. Les dernières étapes ont conduit les participants vers Anglet et vers Bayonne, les zones portuaires de la côte basque, en passant par les spots de surf d’Hossegor. Il a fallu opérer des coupes sombres sur le parcours initial (environ 10km) pour éviter les routes trop ravagées par la tempête. Mais au final, tout le monde est reparti heureux. Pour les randonneurs les plus éloignés, un bus a rallié Gujan-Mestras, où étaient restées les voitures. Ils ont pu profiter de ce « voyage-retour » pour consulter leurs chronos, et s’apercevoir que 220km à 20/25 de moyenne, cela correspondait bien à la Traversée des Landes… Mais qu’en deux jours, ils avaient vu et fait bien plus !
Merci à Gérald.
Pour se situer :
http://sites.google.com/site/tlroller2009/presentation
Lien vers les photos :
http://sites.google.com/site/tlroller2009/les-dernieres-nouvelles/unedeplus
