COMMUNIQUE DE PRESSE
3ème étape des Randos Vertes 2009, le Vendée Raid Nature
Communiqué du 28/05/2009
Les Randos Vertes vous emmènent partout, ou presque ! Passer le pont de Noirmoutier en roller, c’est inédit et incroyable. C’est pourtant ce qu’ont fait les 99 participants du Vendée Raid Nature le week-end dernier. Et bien plus, sur 107km d’aventures.
Il faut remercier le RC Luçonnais et les organisateurs des Randos Vertes. Parcourir la Vendée, son arrière-pays et sa côte, rollers aux pieds – et avec le soleil en prime tout le week-end – est un véritable enchantement ! Les 99 participants à cette troisième étape ne diront pas le contraire : ils ont roulé environ 50km par jour, d’Aizenay à Saint-Jean-de-Monts, puis de Saint-Jean à Noirmoutier, enregistrant au passage des images de paysages magnifiques et changeants.
Ces patineurs, ils venaient d’un grand quart Nord-Ouest (de la Picardie à la Vienne, en passant par la Normandie, le Centre, la Bretagne, la région parisienne et bien sûr les Pays de Loire), et affichaient une moyenne d’âge de 43 ans. « Le plus jeune patineur est né en 1993, et le plus âgé en 1943 » précise Pascal Grissot, le président du RC Luçonnais : vraiment tous les âges, donc. Le samedi, ils commençaient leur journée à 10h30 par un accueil du comité d’organisation, suivi à 11h30 d’un buffet, puis à 12h15 d’un breafing avant le départ.
Du bocage au littoral
La Vendée est un pays de terres et d’océan. La terre, c’est le fameux bocage, que les patineurs du Vendée Raid Nature ont pu parcourir sur une voie verte, puis des sentiers cyclables, entre Aizenay et Saint-Gilles-Croix-de-Vie : dévers et du vert, en pleine nature. C’était l’étape du samedi. Le soir même, ils étaient reçus sur le littoral, les pieds presque dans le sable, pour s’y restaurer (à Saint-Gilles) et pour s’y reposer (à Saint-Jean).
Le littoral vendéen est changeant. Ce n’est pas que d’immenses plages de sable, mais aussi des marais maritimes et des marais salant. Les patineurs ont pu le constater le dimanche en traversant les remblais de Saint-Jean-de-Monts au petit matin, avec sur leur gauche l’océan couvert de brume. Direction le Nord, vers les marais maritimes, où la chaleur de la journée se faisait déjà ressentir. « Heureusement, nous avions prévus de nombreux points ravitaillement, pour permettre à tous de bien se désaltérer » explique Pascal Grissot.
Le pont de Noirmoutier comme point d’orgue
La journée suivait son train, aux alentours de 20km/h. Jusqu’à la dernière étape du Vendée Raid Nature, l’île de Noirmoutier. A vrai dire, c’est habituellement un peu délicat pour des patineurs d’accoster sur une île. Mais celle-là est reliée au continent par un pont. Ce fut le point d’orgue de la randonnée. « Nous avons fait passer les patineurs un par un, pour plus de sécurité explique Pascal Grissot. Ce fut un moment fort, impressionnant pour tous ! » On le serait à moins, les rollers suspendus au-dessus de l’océan…
Les participants ont ensuite eu le droit de traverser l’île, pour se rendre à la Guérinière, près des marais salants, où les attentaient les membres du club de roller hockey. Une autre surprise les attendaient : les hockeyeurs avaient en effet préparé des bourriches d’huîtres à déguster. Il était déjà 14h, et il fallait se rendre vers Noirmoutier pour la boucle finale. Le grand train des 99 patineurs étaient même en avance, et certains ont pu continuer à rouler sur la jetée Jacobsen. D’autres esquissaient un bilan, unanime, que résume très bien Christèle de Cergy : « ce fut une vraie grande ballade. » Et tous sont repartis de Vendée en se disant : à l’année prochaine !
Lien vers le site officiel (avec les diaporamas) :
http://www.vendeeraidroller.fr.gd/
Lien vers le livre d’or :
http://www.vendeeraidroller.fr.gd/LIVRE-D-OR.htm
Il faut remercier le RC Luçonnais et les organisateurs des Randos Vertes. Parcourir la Vendée, son arrière-pays et sa côte, rollers aux pieds – et avec le soleil en prime tout le week-end – est un véritable enchantement ! Les 99 participants à cette troisième étape ne diront pas le contraire : ils ont roulé environ 50km par jour, d’Aizenay à Saint-Jean-de-Monts, puis de Saint-Jean à Noirmoutier, enregistrant au passage des images de paysages magnifiques et changeants.
Ces patineurs, ils venaient d’un grand quart Nord-Ouest (de la Picardie à la Vienne, en passant par la Normandie, le Centre, la Bretagne, la région parisienne et bien sûr les Pays de Loire), et affichaient une moyenne d’âge de 43 ans. « Le plus jeune patineur est né en 1993, et le plus âgé en 1943 » précise Pascal Grissot, le président du RC Luçonnais : vraiment tous les âges, donc. Le samedi, ils commençaient leur journée à 10h30 par un accueil du comité d’organisation, suivi à 11h30 d’un buffet, puis à 12h15 d’un breafing avant le départ.
Du bocage au littoral
La Vendée est un pays de terres et d’océan. La terre, c’est le fameux bocage, que les patineurs du Vendée Raid Nature ont pu parcourir sur une voie verte, puis des sentiers cyclables, entre Aizenay et Saint-Gilles-Croix-de-Vie : dévers et du vert, en pleine nature. C’était l’étape du samedi. Le soir même, ils étaient reçus sur le littoral, les pieds presque dans le sable, pour s’y restaurer (à Saint-Gilles) et pour s’y reposer (à Saint-Jean).
Le littoral vendéen est changeant. Ce n’est pas que d’immenses plages de sable, mais aussi des marais maritimes et des marais salant. Les patineurs ont pu le constater le dimanche en traversant les remblais de Saint-Jean-de-Monts au petit matin, avec sur leur gauche l’océan couvert de brume. Direction le Nord, vers les marais maritimes, où la chaleur de la journée se faisait déjà ressentir. « Heureusement, nous avions prévus de nombreux points ravitaillement, pour permettre à tous de bien se désaltérer » explique Pascal Grissot.
Le pont de Noirmoutier comme point d’orgue
La journée suivait son train, aux alentours de 20km/h. Jusqu’à la dernière étape du Vendée Raid Nature, l’île de Noirmoutier. A vrai dire, c’est habituellement un peu délicat pour des patineurs d’accoster sur une île. Mais celle-là est reliée au continent par un pont. Ce fut le point d’orgue de la randonnée. « Nous avons fait passer les patineurs un par un, pour plus de sécurité explique Pascal Grissot. Ce fut un moment fort, impressionnant pour tous ! » On le serait à moins, les rollers suspendus au-dessus de l’océan…
Les participants ont ensuite eu le droit de traverser l’île, pour se rendre à la Guérinière, près des marais salants, où les attentaient les membres du club de roller hockey. Une autre surprise les attendaient : les hockeyeurs avaient en effet préparé des bourriches d’huîtres à déguster. Il était déjà 14h, et il fallait se rendre vers Noirmoutier pour la boucle finale. Le grand train des 99 patineurs étaient même en avance, et certains ont pu continuer à rouler sur la jetée Jacobsen. D’autres esquissaient un bilan, unanime, que résume très bien Christèle de Cergy : « ce fut une vraie grande ballade. » Et tous sont repartis de Vendée en se disant : à l’année prochaine !
Lien vers le site officiel (avec les diaporamas) :
http://www.vendeeraidroller.fr.gd/
Lien vers le livre d’or :
http://www.vendeeraidroller.fr.gd/LIVRE-D-OR.htm
