COMMUNIQUE DE PRESSE
Bilan de la FIC 2010 : de beaux vainqueurs pour la dixième édition
Communiqué du 24/09/2010
Deux espoirs français sur la plus haute marche de la French Inline Cup, cuvée 2010 : ce n’est pas rien. Lucie Peruzzetto et Ewen Fernandez (Powerslide/Ligne Droite) viennent donc inscrire leurs noms au palmarès de la série française des marathons, qui fêtait ses dix printemps cette année. Les deux vainqueurs auront construit leur victoire respective en suivant une trajectoire presque identique. Autre particularité : ils appartiennent tous les deux au même team national, qui possède des ramifications au niveau international. Ces victoires en FIC ne sont-elles qu’un tremplin pour Peruzzetto et Fernandez avant d’intégrer les rangs des professionnels ?
Lucie Peruzzetto aura été au travail toute l’année. Depuis Rennes sur Roulettes, la Valencienne est là, et bien là. Spécialiste des distances traditionnelles et multi-médaillée sur piste et sur route, elle a fait du marathon une distance de découverte – une découverte qui s’est accélérée cette saison donc ! Toujours placée dans le Top 10, sur le podium aux Herbiers et à Pontarlier, elle a joué de sa régularité et de sa présence pour gagner son premier grand trophée national, mais aussi et surtout écarter (à 5 points) Laetitia Le Bihan (RPM Poli) de l’or de la FIC !
Le Bihan est à vrai dire partie de loin. La Bretonne exilée à Bordeaux a commencé sa saison en FIC piano : à vrai dire, elle n’a pas participé à la première étape, celle de Rennes sur Roulettes. En avril dernier, elle dominait déjà sur la scène française, et son « retour » sur les marathons n’était semble-t-il qu’une formalité. Ca l’a d’ailleurs été, en témoignent ses deux victoires dans les deux dernières manches, sur le Vendée Roller Marathon et à la Trans’roller.
La principale rivale de nos deux Françaises cette année, ce n’était pas Cecilia Baena (Powerslide). On peut certes imaginer que la Colombienne, par ailleurs numéro 1 mondiale sur la distance du 42km, aurait pu donner leur donner du fil à retordre si elle avait couru toute la FIC… Mais avec des « si », on mettrait Paris en bouteille !
Ewen Fernandez, de son côté, a construit sa victoire finale dès la première étape. Le Nantais a d’ailleurs tout de suite compris que sa deuxième place à Rennes sur Roulettes lui offrait l’opportunité de jouer sa carte à fond au sein de son team. Concentré à Dijon, aux Herbiers et enfin à Pontarlier, Fernandez a rendu une copie presque parfaite ! La preuve aussi qu’après quelques saisons chez les Elites et quelques podiums en championnat et en marathon, il semble franchir un nouveau palier : le voilà plus solide en course à tous les points de vue.
Les adversaires d’Ewen Fernandez se sont succédés sans vraiment l’inquiéter. Son coéquipier Scott Arlidge a été menaçant jusqu’au bout, mais comme Cecilia Baena, il n’a pas pris le départ des deux dernières manches. Les RPM Poli menés par Julien Sourisseau ou Brian Lépine auraient dû jouer leur carte, mais ils sont arrivés trop tard dans la course à la FIC… Qu’importe. Au final, Fernandez a démontré qu’il était costaud sur tous les terrains (circuits en ville, circuits physiques) et contre tous les adversaires (les meilleurs mondiaux comme les meilleurs français). A l’image de Lucie Peruzzetto, il entre par la grande porte au palmarès de la French Inline Cup !
Lucie Peruzzetto aura été au travail toute l’année. Depuis Rennes sur Roulettes, la Valencienne est là, et bien là. Spécialiste des distances traditionnelles et multi-médaillée sur piste et sur route, elle a fait du marathon une distance de découverte – une découverte qui s’est accélérée cette saison donc ! Toujours placée dans le Top 10, sur le podium aux Herbiers et à Pontarlier, elle a joué de sa régularité et de sa présence pour gagner son premier grand trophée national, mais aussi et surtout écarter (à 5 points) Laetitia Le Bihan (RPM Poli) de l’or de la FIC !
Le Bihan est à vrai dire partie de loin. La Bretonne exilée à Bordeaux a commencé sa saison en FIC piano : à vrai dire, elle n’a pas participé à la première étape, celle de Rennes sur Roulettes. En avril dernier, elle dominait déjà sur la scène française, et son « retour » sur les marathons n’était semble-t-il qu’une formalité. Ca l’a d’ailleurs été, en témoignent ses deux victoires dans les deux dernières manches, sur le Vendée Roller Marathon et à la Trans’roller.
La principale rivale de nos deux Françaises cette année, ce n’était pas Cecilia Baena (Powerslide). On peut certes imaginer que la Colombienne, par ailleurs numéro 1 mondiale sur la distance du 42km, aurait pu donner leur donner du fil à retordre si elle avait couru toute la FIC… Mais avec des « si », on mettrait Paris en bouteille !
Ewen Fernandez, de son côté, a construit sa victoire finale dès la première étape. Le Nantais a d’ailleurs tout de suite compris que sa deuxième place à Rennes sur Roulettes lui offrait l’opportunité de jouer sa carte à fond au sein de son team. Concentré à Dijon, aux Herbiers et enfin à Pontarlier, Fernandez a rendu une copie presque parfaite ! La preuve aussi qu’après quelques saisons chez les Elites et quelques podiums en championnat et en marathon, il semble franchir un nouveau palier : le voilà plus solide en course à tous les points de vue.
Les adversaires d’Ewen Fernandez se sont succédés sans vraiment l’inquiéter. Son coéquipier Scott Arlidge a été menaçant jusqu’au bout, mais comme Cecilia Baena, il n’a pas pris le départ des deux dernières manches. Les RPM Poli menés par Julien Sourisseau ou Brian Lépine auraient dû jouer leur carte, mais ils sont arrivés trop tard dans la course à la FIC… Qu’importe. Au final, Fernandez a démontré qu’il était costaud sur tous les terrains (circuits en ville, circuits physiques) et contre tous les adversaires (les meilleurs mondiaux comme les meilleurs français). A l’image de Lucie Peruzzetto, il entre par la grande porte au palmarès de la French Inline Cup !
