COMMUNIQUE DE PRESSE
France Iron Tour - 4ème étape à TULLE - DODET POUR LA PASSE DE QUATRE
Communiqué du 30/08/2002
Souverain sur un parcours sélectif taillé à sa mesure et son gabarit, Sylvain Dodet s’est imposé sur la quatrième étape du France Iron Tour, aujourd’hui à Tulle.
Les jours passent, et le vainqueur reste le même sur le France Iron Tour 2002. Aujourd’hui à Tulle, Sylvain Dodet (Poissy) a levé victorieusement les bras pour la quatrième fois en quatre étapes, ne laissant que les miettes à ses adversaires.
Les quarante triathlètes représentant huit équipes avaient aujourd’hui à nager 750 mètres dans le bassin de l’Audouze, avant d’enchaîner avec un parcours vélo dantesque : une côte abrupte de 300 mètres - à gravir cinq fois - débutait dès la sortie du parc à vélo, ne laissant aucun répit aux organismes qui commencent à fatiguer, après quatre jours de course.
Malgré la volonté des hommes forts tels que Batelier, Fleureton , Blasco ou Marceau, et le tempo imprimé un temps par les Esapgnols d’Excelent Center, aucun triathlète n’arrivait à se détacher significativement du groupe de tête à vélo.
C’est donc à pied que les athlètes, qui devaient de nouveau emprunter trois fois une redoutable côte, allaient une nouvelle fois s’expliquer. Le scénario déjà vu par trois fois depuis le départ de Lyon allait se renouveler aujourd’hui. Sylvain Dodet partait au train, puis prenait de l’avance au fil des tours sur Fleureton et l’Espagnol Rana, qui arrivaient dans cet ordre.
Photo Philippe MILLET
Les jours passent, et le vainqueur reste le même sur le France Iron Tour 2002. Aujourd’hui à Tulle, Sylvain Dodet (Poissy) a levé victorieusement les bras pour la quatrième fois en quatre étapes, ne laissant que les miettes à ses adversaires.
Les quarante triathlètes représentant huit équipes avaient aujourd’hui à nager 750 mètres dans le bassin de l’Audouze, avant d’enchaîner avec un parcours vélo dantesque : une côte abrupte de 300 mètres - à gravir cinq fois - débutait dès la sortie du parc à vélo, ne laissant aucun répit aux organismes qui commencent à fatiguer, après quatre jours de course.
Malgré la volonté des hommes forts tels que Batelier, Fleureton , Blasco ou Marceau, et le tempo imprimé un temps par les Esapgnols d’Excelent Center, aucun triathlète n’arrivait à se détacher significativement du groupe de tête à vélo.
C’est donc à pied que les athlètes, qui devaient de nouveau emprunter trois fois une redoutable côte, allaient une nouvelle fois s’expliquer. Le scénario déjà vu par trois fois depuis le départ de Lyon allait se renouveler aujourd’hui. Sylvain Dodet partait au train, puis prenait de l’avance au fil des tours sur Fleureton et l’Espagnol Rana, qui arrivaient dans cet ordre.
Photo Philippe MILLET
