Communiqué du 27/06/2005
VOLCANO TRAIL LE 18 JUIN 2005 EN GUADELOUPE A BASSE TERRE:
UN TRAIL D’EXCEPTION
Pour les trailers fidèles à la métropole si un jour l’envie vous prend d’aller courir une épreuve un peu exotique et originale le Volcano sera le choix idéal pour satisfaire vos désirs de dépaysement.
S’il affiche 50 kilomètres au départ pour 3500 mètres de dénivelé positif, ne vous fiez pas à cette constance commune à ce que l’on peut trouver en France. En effet un trail à la sauce créole n’a rien de pareil.
Le Volcano se distingue par des singles tracks dans les forêts abondantes des Monts Caraïbes et de la Soufrière façon jungle tropicale. Ici vous faites appel à une grande habilité et toucher de pieds au milieu des racines glissantes et de la boue mais les somptueux paysages de forêts de bambous et bananiers et arbres tropicaux en tout genre vous aideront à passer des difficultés !
Au petit matin à 5h 30, alors que le Soleil pointait depuis peu dans le ciel Guadeloupéen, une centaine de Coureurs s’élançaient sous les tamtam et la musique créole, pour les 50 kilomètres et les 3800 mètres de dénivelés du Volcano trail. La Mythique Course de montagne guadeloupéenne organisé depuis 4 ans par Eric Barret, chef d’orchestre des cette magnifique symphonie de difficultés entre racine boue, eau, montée vertigineuse…
Les traileurs présents venaient de tout horizons, Des Antilles pour les Guadeloupéens, les Martiniquais et les résidents de Saint Martin. D’autres n’avaient pas hésité à faire le voyage de Guyane comme Christophe Le Saux, un grand spécialiste des courses de Montagnes ou encore des délégations de métropolitains. Parmi eux Ginette Moretto la tenante du titre de l’endurance Trail Trophy et Pascale Fouques la haut alpine récente vainqueur sur le challenge Salomon du Trail des Signes.
D’entrée, les difficultés se présentaient au coureurs par l’ascension des Mont Caraïbes dominé par Vent Soufflé, un mont culminant à 687m ; Après une descente en direction de Champfleuri, les trailers entamaient une remontée dans une bananeraie vers le Plateau du Palmiste ou les attentaient le premier Ravitaillement au quinzième kilomètres. Les écarts commençaient à se mettre en place aux avants poste chez les garçons le Guyanais Christophe le Saut semblait contrôler la course, il était suivi du haut Alpin Eric Favre et du Martiniquais Stelve Ramanick, coté fille Ginette Moretto menaient largement la course avec 10 minutes d’avance sur Pascale Fouques et la Martiniquaise Sophie Dumortiez.
Après cette pose énergisante les trailers étaient orientés vers le Bassin Bleu, l’un des plus beaux passages du parcours avec deux kilomètres de « crapahutage » les pieds dans l’eau avec quelques passages de cordes.
Au sortir du Bassin les choses sérieuses s’engageaient vers l’ascension du mythique Volcan la Soufrière, par la montée non moins mythique de la trace des Poteaux : 400 mètres de dénivelé positifs taillés droit dans la pente en suivant la ligne électrique. Avec la boue et le vent, ce passage semblait être la difficulté notoire du Parcours. Arrivés en haut de la Citerne, les trailers s’engageaient vers les chutes du Carbet ou le deuxième ravitaillement les attendait. « Sur ce ravitaillement il ne faut pas hésiter à bien se retaper car on a fait quasiment le plus dur mais il reste encore le Col de l’Echelle (1264 m) le point culminant ! Après on peu dire que le Volcano est presque à portée de foulée ! » nous confie Marc Borie venue de métropole pour courir cette épreuve…. la Soufrière se faisait bien timide avec les nombreux nuages camouflant son sommet. Certains n’eurent pas le plaisir de l’admirer. Mais les nombreux coureurs arrivant à ce point, sentaient déjà course gagnée. A ce stade pour beaucoup l’objectif était de finir avant la nuit et avant les barrières horaires de sécurité fermé. En effet si les vainqueurs ont à peine passé un peu plus de 7 heures pour boucler ces 50 kilomètres, la majeur partie des trailers mettaient plus de 10 heures pour arriver à bout de ce parcours.
A papaye au kilomètre 40, ce fut un réel plaisir pour tous de trouver un ravitaillement décoré d’une magnifique allée fleurie par les Indiens locaux.
Bravo à tous les participants pour avoir bravé les pièges des forêts tropicales et des montées vertigineuses autour de la Soufrière. « Cette course reste vraiment unique… nous confie Eric Favre, 3ème de ces 50 kilomètres. Il n’y en a nulle d’autre pareils, c’est un dépaysement total de par la luxuriance de la végétation, l’accueil très chaleureux des locaux et la qualité du parcours tracé par Eric Barret. »
Texte et photos : Mouss production
moussproduction@aol.com

VOLCANO TRAIL LE 18 JUIN 2005 EN GUADELOUPE A BASSE TERRE:
UN TRAIL D’EXCEPTION
Pour les trailers fidèles à la métropole si un jour l’envie vous prend d’aller courir une épreuve un peu exotique et originale le Volcano sera le choix idéal pour satisfaire vos désirs de dépaysement.
S’il affiche 50 kilomètres au départ pour 3500 mètres de dénivelé positif, ne vous fiez pas à cette constance commune à ce que l’on peut trouver en France. En effet un trail à la sauce créole n’a rien de pareil.
Le Volcano se distingue par des singles tracks dans les forêts abondantes des Monts Caraïbes et de la Soufrière façon jungle tropicale. Ici vous faites appel à une grande habilité et toucher de pieds au milieu des racines glissantes et de la boue mais les somptueux paysages de forêts de bambous et bananiers et arbres tropicaux en tout genre vous aideront à passer des difficultés !
Au petit matin à 5h 30, alors que le Soleil pointait depuis peu dans le ciel Guadeloupéen, une centaine de Coureurs s’élançaient sous les tamtam et la musique créole, pour les 50 kilomètres et les 3800 mètres de dénivelés du Volcano trail. La Mythique Course de montagne guadeloupéenne organisé depuis 4 ans par Eric Barret, chef d’orchestre des cette magnifique symphonie de difficultés entre racine boue, eau, montée vertigineuse…
Les traileurs présents venaient de tout horizons, Des Antilles pour les Guadeloupéens, les Martiniquais et les résidents de Saint Martin. D’autres n’avaient pas hésité à faire le voyage de Guyane comme Christophe Le Saux, un grand spécialiste des courses de Montagnes ou encore des délégations de métropolitains. Parmi eux Ginette Moretto la tenante du titre de l’endurance Trail Trophy et Pascale Fouques la haut alpine récente vainqueur sur le challenge Salomon du Trail des Signes.
D’entrée, les difficultés se présentaient au coureurs par l’ascension des Mont Caraïbes dominé par Vent Soufflé, un mont culminant à 687m ; Après une descente en direction de Champfleuri, les trailers entamaient une remontée dans une bananeraie vers le Plateau du Palmiste ou les attentaient le premier Ravitaillement au quinzième kilomètres. Les écarts commençaient à se mettre en place aux avants poste chez les garçons le Guyanais Christophe le Saut semblait contrôler la course, il était suivi du haut Alpin Eric Favre et du Martiniquais Stelve Ramanick, coté fille Ginette Moretto menaient largement la course avec 10 minutes d’avance sur Pascale Fouques et la Martiniquaise Sophie Dumortiez.
Après cette pose énergisante les trailers étaient orientés vers le Bassin Bleu, l’un des plus beaux passages du parcours avec deux kilomètres de « crapahutage » les pieds dans l’eau avec quelques passages de cordes.
Au sortir du Bassin les choses sérieuses s’engageaient vers l’ascension du mythique Volcan la Soufrière, par la montée non moins mythique de la trace des Poteaux : 400 mètres de dénivelé positifs taillés droit dans la pente en suivant la ligne électrique. Avec la boue et le vent, ce passage semblait être la difficulté notoire du Parcours. Arrivés en haut de la Citerne, les trailers s’engageaient vers les chutes du Carbet ou le deuxième ravitaillement les attendait. « Sur ce ravitaillement il ne faut pas hésiter à bien se retaper car on a fait quasiment le plus dur mais il reste encore le Col de l’Echelle (1264 m) le point culminant ! Après on peu dire que le Volcano est presque à portée de foulée ! » nous confie Marc Borie venue de métropole pour courir cette épreuve…. la Soufrière se faisait bien timide avec les nombreux nuages camouflant son sommet. Certains n’eurent pas le plaisir de l’admirer. Mais les nombreux coureurs arrivant à ce point, sentaient déjà course gagnée. A ce stade pour beaucoup l’objectif était de finir avant la nuit et avant les barrières horaires de sécurité fermé. En effet si les vainqueurs ont à peine passé un peu plus de 7 heures pour boucler ces 50 kilomètres, la majeur partie des trailers mettaient plus de 10 heures pour arriver à bout de ce parcours.
A papaye au kilomètre 40, ce fut un réel plaisir pour tous de trouver un ravitaillement décoré d’une magnifique allée fleurie par les Indiens locaux.
Bravo à tous les participants pour avoir bravé les pièges des forêts tropicales et des montées vertigineuses autour de la Soufrière. « Cette course reste vraiment unique… nous confie Eric Favre, 3ème de ces 50 kilomètres. Il n’y en a nulle d’autre pareils, c’est un dépaysement total de par la luxuriance de la végétation, l’accueil très chaleureux des locaux et la qualité du parcours tracé par Eric Barret. »
Texte et photos : Mouss production
moussproduction@aol.com