COMMUNIQUE DE PRESSE
FIC Classe 2 Nîmes en Roller : Samir (PHC) et Lannezval (LSC) pour une dernière victoire en 2005
Communiqué du 16/10/2005
La dernière étape de la saison 2005 de la French Inline Cup s’est jouée au terme d’échappées, tant chez les femmes que chez les hommes. Dans un sprint à trois, Ghizlane Samir (Paris Hockey Club) est parvenue à maîtriser les deux coéquipières du team K2/Pierre-qui-Roule, Albane Saliou et Anne-Claire Maillard. Quant à Mikaël Lannezval (Levallois Sporting Club), il s’est montré le plus rapide des cinq fugitifs partis dès le deuxième des dix tours dans le marathon masculin… Il se succède ainsi à lui-même dans le Gard.
L’étape nîmoise de la FIC a tout d’abord attiré environ deux cents Open sur les coups de onze heures. Très rapidement, le circuit urbain, très technique (de nombreux virages) mais finalement aussi physique (avec quatre belles montées), était bondé de patineurs sur tout son parcours (3,2 kilomètres). Le plus rapide chez les hommes a été Vincent Tardieu : il a bouclé les 25km en 47’35 – dix secondes devant le Cadet Yannick Laudebat et cinquante devant un autre Cadet, Florian Paredes. Chez les femmes, le podium s’est joué au sprint et c’est Stéphanie Mateu qui l’a emporté en 1h et 55 secondes devant Jennifer Solito et Viviane Rognant.
Deux trios chez les femmes
Elles n’étaient que six dans le peloton féminin et au bout de deux tours, sous l’impulsion des deux coéquipières de K2/Pierre-qui-Roule, les trois Elites de la course se sont retrouvées seules pour en découdre. Le trio assurait les relais parfaitement jusqu’au bout, Anne-Claire Maillard essayant cependant de s’échapper à trois reprises, sans succès. Et dans un sprint très clair, Ghizlane Samir (PHC) parvenait à contenir Albane Saliou, lancée sur sa droite à toute allure. Maillard s’adjugeait la troisième place dans le même temps que les deux premières (1h04 pour 30km).
Le trio des Nationales arrivait trois minutes plus tard, réglé cette fois-ci par Claire Campourcy (SKF-Crédit Mutuel) devant Anne-Sophie Petiprez et sa coéquipière Emilie Martignon.
La course des hommes s’est elle aussi décantée dans le deuxième tour, sous l’impulsion de Vincent Esnault (Swot-Rollerblade) et d’Antoine Jacquier (Sarthe Inline). Les deux nommés réussissaient à fausser compagnie au paquet un instant, avant de se faire rejoindre par trois autres fuyards, Jean-Stéphane Sierra (Antistatik), Mikaël Lannezval (LSC) et Maxime Provost (Swot-Rollerblade).
Jeu de placement pour l'arrivée
Par le jeu des teams et des intérêts, le travail dans cette échappée incombait finalement à Esnault et Jacquier… Pour se finir à deux tours de l’arrivée en un jeu de placement en vue du sprint final. Mikaël Lannezval essayait bien quelques coups de bleuf, sans réussite. Dans la dernière montée, Esnault embrayait assez nerveusement, mais il se fit passer par Lannezval et Sierra avant le dernier virage à l’envers, cent mètres avant l’arrivée. Son coéquipier Maxime Provost passa dans la foulée, mais trop tard pour venir inquiéter les deux autres.
Lannezval, grâce à sa solide pointe de vitesse, coupait la ligne victorieusement en 56’30 – juste avant que sa platine se désolidarise de sa chaussure ! Jean-Stéphane Sierra montait sur une belle deuxième place, sa première sur la FIC. Maxime Provost complétait donc le podium. L’Espagnol Daniel Ruiz Rivera (La Corogne), déjà présent sur l’étape des Herbiers, parvenait quant à lui à régler le peloton pour la sixième place, 1’30 plus tard…
Vincent Esnault.
L’étape nîmoise de la FIC a tout d’abord attiré environ deux cents Open sur les coups de onze heures. Très rapidement, le circuit urbain, très technique (de nombreux virages) mais finalement aussi physique (avec quatre belles montées), était bondé de patineurs sur tout son parcours (3,2 kilomètres). Le plus rapide chez les hommes a été Vincent Tardieu : il a bouclé les 25km en 47’35 – dix secondes devant le Cadet Yannick Laudebat et cinquante devant un autre Cadet, Florian Paredes. Chez les femmes, le podium s’est joué au sprint et c’est Stéphanie Mateu qui l’a emporté en 1h et 55 secondes devant Jennifer Solito et Viviane Rognant.
Deux trios chez les femmes
Elles n’étaient que six dans le peloton féminin et au bout de deux tours, sous l’impulsion des deux coéquipières de K2/Pierre-qui-Roule, les trois Elites de la course se sont retrouvées seules pour en découdre. Le trio assurait les relais parfaitement jusqu’au bout, Anne-Claire Maillard essayant cependant de s’échapper à trois reprises, sans succès. Et dans un sprint très clair, Ghizlane Samir (PHC) parvenait à contenir Albane Saliou, lancée sur sa droite à toute allure. Maillard s’adjugeait la troisième place dans le même temps que les deux premières (1h04 pour 30km).
Le trio des Nationales arrivait trois minutes plus tard, réglé cette fois-ci par Claire Campourcy (SKF-Crédit Mutuel) devant Anne-Sophie Petiprez et sa coéquipière Emilie Martignon.
La course des hommes s’est elle aussi décantée dans le deuxième tour, sous l’impulsion de Vincent Esnault (Swot-Rollerblade) et d’Antoine Jacquier (Sarthe Inline). Les deux nommés réussissaient à fausser compagnie au paquet un instant, avant de se faire rejoindre par trois autres fuyards, Jean-Stéphane Sierra (Antistatik), Mikaël Lannezval (LSC) et Maxime Provost (Swot-Rollerblade).
Jeu de placement pour l'arrivée
Par le jeu des teams et des intérêts, le travail dans cette échappée incombait finalement à Esnault et Jacquier… Pour se finir à deux tours de l’arrivée en un jeu de placement en vue du sprint final. Mikaël Lannezval essayait bien quelques coups de bleuf, sans réussite. Dans la dernière montée, Esnault embrayait assez nerveusement, mais il se fit passer par Lannezval et Sierra avant le dernier virage à l’envers, cent mètres avant l’arrivée. Son coéquipier Maxime Provost passa dans la foulée, mais trop tard pour venir inquiéter les deux autres.
Lannezval, grâce à sa solide pointe de vitesse, coupait la ligne victorieusement en 56’30 – juste avant que sa platine se désolidarise de sa chaussure ! Jean-Stéphane Sierra montait sur une belle deuxième place, sa première sur la FIC. Maxime Provost complétait donc le podium. L’Espagnol Daniel Ruiz Rivera (La Corogne), déjà présent sur l’étape des Herbiers, parvenait quant à lui à régler le peloton pour la sixième place, 1’30 plus tard…
Vincent Esnault.
